Ce livre m'as beaucoup plus, mais avec quelques petits bémols.
Positif :
Une histoire de plus en plus mystérieuse sur le fond brumeux de la ville de Barcelone entre les années 30 et 60. Le passé d'un écrivain tombé dans l'oubli et le présent d'un jeune garçon, qui choisit, pas forcément par hasard, un livre de cet auteur dans le cimetière des livres oubliés, s'entremêlent pour donner plus de corps à l'intrigue. A tel point que l'on se demande à certains moments si l'histoire ne pourrait pas recommencer une nouvelle fois.
Une description de l'ambiance des rues et de la vie à Barcelone en ses temps dur.
Une prologue qui vous tire les larmes aux yeux grâce au rite de passage que le père inculque au fils. L'auteur nous montre la relation privilégié qu'il existe entre eux, sur fond de deuil de la maman.
Un meilleur ami, Fermin, au caractère bien trempé et très attachant, et comme l'on aurait bien aimé avoir dans certains moments de la vie.
Négatif :
Un début que j'ai trouvé très long à se mettre en place. L'histoire devient plus palpitante au milieux du livre. On tiens au début car on a quand même envie de savoir ce qui se cache derrière le passé de l'écrivain maudit que l'on révèle par touche et aussi par les notes d'humours de Daniel et de Fermin.
C'est bien de décrive la ville avec les noms de rue, mais quand on a jamais visité la ville, et même si c'est arrivé ; je doute que l'on se rappelle de toute les rues ; Mis à part les monuments importants comme la Sagrada Familia, et le quartier de Tibidabo. Cela ne nous sert pas à grand chose de nous répéter les rues et places.
Un roman que j'ai trouvé très varié sur les émotions, les relations entre les gens... J'ai apprécié la description des petites moeurs des gens d'autre fois : comment ils survivaient dans les temps dur, puis avec la guerre civile, l'anarchie, les complots, les lèches bottes de service pendant l'occupation, l'entraide entre les gens du quartier.
L'auteur à mis un soin particulier à nous faire rentrer dans l'intrigue morceau par morceau, et à nous dévoiler la vérité au fur et à mesure de la même manière, à tel point que au fur et à mesure des révélations cela engendre encore plus de questions.
Il met aussi un point d'honneur à nous expliquer comment les personnages deviennent ce qu'il sont et agissent en conséquence de leur ressentit. Sauf pour un qui devient vraiment timbré. Il a vraiment réussi ce personnage, on ressent bien le prédateur carnassier chasseur qui prend plaisir non seulement à tuer mais aussi à faire souffrir et à attendre indéfiniment son heure pour agir.
Bien que la fin soit dans la logique de l'histoire et des personnages, elle m'a quand même bien plu et surprise car elle est quand même originale et peu commune vu les péripéties du héros Daniel.
Autre héros très attachant et dramatique auquel on s'attend un peu mais bien triste pour cette femme quand même. Elle joue un rôle clé, tragique et révélateur pour beaucoup de personnages. Elle nous entraine aussi avec réalisme et simplicité dans la période de la guerre civile espagnole, sans toutefois trop s'y attarder. Juste assez pour nous faire ressentir l'absurdité et l'horreur de celle-ci, comme toute les guerres d'ailleurs.
Positif :
Une histoire de plus en plus mystérieuse sur le fond brumeux de la ville de Barcelone entre les années 30 et 60. Le passé d'un écrivain tombé dans l'oubli et le présent d'un jeune garçon, qui choisit, pas forcément par hasard, un livre de cet auteur dans le cimetière des livres oubliés, s'entremêlent pour donner plus de corps à l'intrigue. A tel point que l'on se demande à certains moments si l'histoire ne pourrait pas recommencer une nouvelle fois.
Une description de l'ambiance des rues et de la vie à Barcelone en ses temps dur.
Une prologue qui vous tire les larmes aux yeux grâce au rite de passage que le père inculque au fils. L'auteur nous montre la relation privilégié qu'il existe entre eux, sur fond de deuil de la maman.
Un meilleur ami, Fermin, au caractère bien trempé et très attachant, et comme l'on aurait bien aimé avoir dans certains moments de la vie.
Négatif :
Un début que j'ai trouvé très long à se mettre en place. L'histoire devient plus palpitante au milieux du livre. On tiens au début car on a quand même envie de savoir ce qui se cache derrière le passé de l'écrivain maudit que l'on révèle par touche et aussi par les notes d'humours de Daniel et de Fermin.
C'est bien de décrive la ville avec les noms de rue, mais quand on a jamais visité la ville, et même si c'est arrivé ; je doute que l'on se rappelle de toute les rues ; Mis à part les monuments importants comme la Sagrada Familia, et le quartier de Tibidabo. Cela ne nous sert pas à grand chose de nous répéter les rues et places.
Un roman que j'ai trouvé très varié sur les émotions, les relations entre les gens... J'ai apprécié la description des petites moeurs des gens d'autre fois : comment ils survivaient dans les temps dur, puis avec la guerre civile, l'anarchie, les complots, les lèches bottes de service pendant l'occupation, l'entraide entre les gens du quartier.
L'auteur à mis un soin particulier à nous faire rentrer dans l'intrigue morceau par morceau, et à nous dévoiler la vérité au fur et à mesure de la même manière, à tel point que au fur et à mesure des révélations cela engendre encore plus de questions.
Il met aussi un point d'honneur à nous expliquer comment les personnages deviennent ce qu'il sont et agissent en conséquence de leur ressentit. Sauf pour un qui devient vraiment timbré. Il a vraiment réussi ce personnage, on ressent bien le prédateur carnassier chasseur qui prend plaisir non seulement à tuer mais aussi à faire souffrir et à attendre indéfiniment son heure pour agir.
Bien que la fin soit dans la logique de l'histoire et des personnages, elle m'a quand même bien plu et surprise car elle est quand même originale et peu commune vu les péripéties du héros Daniel.
Autre héros très attachant et dramatique auquel on s'attend un peu mais bien triste pour cette femme quand même. Elle joue un rôle clé, tragique et révélateur pour beaucoup de personnages. Elle nous entraine aussi avec réalisme et simplicité dans la période de la guerre civile espagnole, sans toutefois trop s'y attarder. Juste assez pour nous faire ressentir l'absurdité et l'horreur de celle-ci, comme toute les guerres d'ailleurs.
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