Voici un livre qui m'as été donné. Merci Luna05, qui ne s'est pas prise au jeu de ce livre.
Oui merci, car connaissant que très peu le début de l'histoire et son ampleur, je me suis lancé presque à l'aveuglette dans cette lecture. Et quelle surprise !
Je me suis lancé et noyé dans la Fantasy depuis peu de temps (Merci Eragon et C. Paolini), mais comme à chaque histoire, celle-ci ne ressemble à aucune autre. J'ai mis un peu de temps à m'habituer à la façon d'écrire de l'auteur (langage un peu plus soutenu que la moyenne), mais dès que l'on s'y habitue on est pris dans l'histoire.
Une histoire qui commence fort à la façon d'un flash-back de film. Un grand magicien qui fait le constat de son état et des avantages dont il jouit à la fin de sa vie, revient sur un évènement qui à marqué sa jeunesse de magicien et qui est la conséquence d'une prophétie du royaume de Skala.
Suite à ça on se plonge dans sa jeune vie et de son maître magicien(ne) la grande Iya.
Il faut savoir que dans ce monde les magiciens d'Oreska ont une vie plus longue que le commun des mortels et donc une façon différente d'appréhender le temps qui passe.
J'ai bien aimé la façon qu'ont les magiciens d'aborder leur art et science seulement dans des moments vraiment utiles ou pour rendre services au gens. C'est de cette façon qu'ils arrivent à vivre de façon indépendante.
La chose que vont accomplir les deux magiciens et la sorcière qui les accompagne va à l'encontre de toute les règles du royaume et des lois de leur magie (sauf pour la sorcière on le comprend après) et de leur despote de roi. Car oui c'est bien un despote. La prophétie en est la preuve, car elle dit que "tant qu'une reine guerrière sera sur le trône, le royaume de Skala vivra en paix".
Pour ne pas vous en dire plus je vous inciterai en vous disant qu'il est beaucoup question d'enfance, d'emprise maléfique, de gémellité, de jalousie, de magie ancestrale et nécromanciène (positivement), mais il est question aussi de fraternité et d'amitié, et de sentiments maternels.
Je ne m'attendais pas à ce que les sentiments et les questions que se pose un enfant dans sa position soit aussi développés et justement écrit. C'est surtout cela qui m'est apparu le plus détaillé. Elle est arrivée (l'auteur) à mettre des mots et des actions sur les peurs de l'enfant, ce qu'il ne comprends pas et le dépasse. L'enfant est torturé mentalement et dans sa façon d'être, à cause des actes, dont il ignore, qui ont été fait sur lui et son jumeau. Les magiciens et le reste du monde sont dans l'attente de grands espoirs.
Mais au final un espoir de bonheur transparait grâce au petit garçon nommé Ki.
Une livre qui finit plus tôt que je ne l'aurait pensé. Cela veut surement dire que j'ai aimé cette histoire ? A quand le tome deux que je me régale ? lol.
Oui merci, car connaissant que très peu le début de l'histoire et son ampleur, je me suis lancé presque à l'aveuglette dans cette lecture. Et quelle surprise !
Je me suis lancé et noyé dans la Fantasy depuis peu de temps (Merci Eragon et C. Paolini), mais comme à chaque histoire, celle-ci ne ressemble à aucune autre. J'ai mis un peu de temps à m'habituer à la façon d'écrire de l'auteur (langage un peu plus soutenu que la moyenne), mais dès que l'on s'y habitue on est pris dans l'histoire.
Une histoire qui commence fort à la façon d'un flash-back de film. Un grand magicien qui fait le constat de son état et des avantages dont il jouit à la fin de sa vie, revient sur un évènement qui à marqué sa jeunesse de magicien et qui est la conséquence d'une prophétie du royaume de Skala.
Suite à ça on se plonge dans sa jeune vie et de son maître magicien(ne) la grande Iya.
Il faut savoir que dans ce monde les magiciens d'Oreska ont une vie plus longue que le commun des mortels et donc une façon différente d'appréhender le temps qui passe.
J'ai bien aimé la façon qu'ont les magiciens d'aborder leur art et science seulement dans des moments vraiment utiles ou pour rendre services au gens. C'est de cette façon qu'ils arrivent à vivre de façon indépendante.
La chose que vont accomplir les deux magiciens et la sorcière qui les accompagne va à l'encontre de toute les règles du royaume et des lois de leur magie (sauf pour la sorcière on le comprend après) et de leur despote de roi. Car oui c'est bien un despote. La prophétie en est la preuve, car elle dit que "tant qu'une reine guerrière sera sur le trône, le royaume de Skala vivra en paix".
Pour ne pas vous en dire plus je vous inciterai en vous disant qu'il est beaucoup question d'enfance, d'emprise maléfique, de gémellité, de jalousie, de magie ancestrale et nécromanciène (positivement), mais il est question aussi de fraternité et d'amitié, et de sentiments maternels.
Je ne m'attendais pas à ce que les sentiments et les questions que se pose un enfant dans sa position soit aussi développés et justement écrit. C'est surtout cela qui m'est apparu le plus détaillé. Elle est arrivée (l'auteur) à mettre des mots et des actions sur les peurs de l'enfant, ce qu'il ne comprends pas et le dépasse. L'enfant est torturé mentalement et dans sa façon d'être, à cause des actes, dont il ignore, qui ont été fait sur lui et son jumeau. Les magiciens et le reste du monde sont dans l'attente de grands espoirs.
Mais au final un espoir de bonheur transparait grâce au petit garçon nommé Ki.
Une livre qui finit plus tôt que je ne l'aurait pensé. Cela veut surement dire que j'ai aimé cette histoire ? A quand le tome deux que je me régale ? lol.
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