Les monde d'Ewilan, La forêt des captifs

  

Dans le cadre du challenge Fantasy de livraddict, je viens de terminer ce roman.

J’ai mis un moment à le lire car je ne connaissais pas la littérature et l’univers d’Ewilan, j’ai donc du lire la première trilogie, la quête d’Ewilan (critique tome 1  , tome 2 et 3  ). L'auteur m’a fait découvrir un monde et des personnages fantastiques.

Pour le début de cette seconde trilogie, on ressent dans l’écriture de l’auteur la volonté d’une coupure.

Elle est réussie car je l’ai vraiment ressentit. 

Quelques semaines ou mois se sont écoulés depuis la fin de la première trilogie. Les personnages ont repris leur ancienne vie ou en commencent une autre comme c’est le cas pour Ewilan, son frère, ses parents, Salim,  et Maniel.

Jusqu’au moment où c’est le choc, car nous retrouvons Salim en mauvaise posture, tout seul, dans un endroit inconnu en mode recherche désespérée.

C’est aussi une coupure car on retrouve Ewilan comme on  ne l’avait jamais vu et comme elle-même ne s’était jamais vue.  Mais peut être est-ce la aussi le début d’une autre leçon de vie ?

Enfin de compte de nouvelles aventures, rencontres attendent nos héros. De nouveaux problèmes à résoudre et des nouvelles capacités encore jamais rencontrées.

Là où j’ai apprécié plus particulièrement cet ouvrage c’est le fait que l’auteur aille plus profondément nous faire découvrir ses personnages, notamment pour Ewilan et Salim. Ce roman est sans conteste plus mature que les anciens.  C’est aussi d’une logique évidente puisque les héros grandissent et par la même occasion les lecteurs ont grandit avec ces romans.

On ressent quand même plus de maturité et de détails venant de l’écriture de l’auteur.

Ce sont des histoires que je n’oublierai pas, qui auront une grande présence dans mon esprit comme d’autre roman qui ont compté pour moi tel que Harry Potter et Le seigneur des anneaux. Oui car je vais m’arrêter ici pour ce qui est des aventures d’Ewilan. Mais je n’en ai pas fini avec ce super auteur qui nous a quittés trop tôt.