Cet histoire m’intéressait depuis un bon moment. Je n’avais jamais lu de roman ou autre article ou recherche sur la mythologie Nordique. C’est une culture, un fond propre d’histoires qui nous est éloigné en apparence. J’ai donc décidé de parier sur cet auteur connu d’après mes recherches, et me lançant dans l’inconnu comme pour chaque nouvel auteur.
La première image que j’avais d’Edouard Brasey était une sorte de Conteur, de Barde gaulois, d’après les photos ou les quelques vidéos glanées sur la toile. Et je confirme en effet cette impression, qui n’est pas un reproche dans ma pensée, au contraire. Les conteurs ont une place à part dans l’Histoire et surtout le moyen-âge. Personnes vagabondes mais estimées de tous, colportant la parole du monde et des nouvelles pays voisins. Dans nos temps plus que modernes, régie sous l’emprise de l’information à tout prix, les conteurs pourraient paraître désuets et inutile. Tout au contraire ! De nos jours ils sont encore porteur d’une flamme mystique d’une vision du monde, nous distrayant de leur histoire venu des temps anciens, nous emportant dans des mondes aventuriers et fantastiques tous plus authentiques les uns que les autres, et cela malgré si on connait déjà l’histoire. Pour ma part j’adore toujours entendre raconter une histoire déjà entendu.
Edouard Brasey est précisément cela : un conteur des temps modernes. Il a le Don et la Voix. On pourrait presque croire qu’il nous raconte son histoire assis en face de nous au coin d’un feu de cheminé ou dans un campement dans les bois pour un long voyage vers un royaume, et les intonations et tout et tout….
J’avais quelques appréhensions quand à l’orthographe et la prononciation du vocabulaire de ce livre à forte tendance nordique et germanophone. Mais cela n’a pas été un gros handicap et même plutôt un plaisir passé quelques pages du livre.
L’auteur nous raconte des histoires dans l’Histoire de la mythologie nordique. Il s’attarde et cadre son récit sur un long passage, à savoir le Ragnarök : la chute des Dieux. Comment cela a-t-il commencé ? Par quel moyen ? Quel sont les rôles des forces destructrices ? Quel est le rôle du Destin ? Peut-on y échapper ? Voilà un exemple de question que l’auteur nous pose et nous impose pour comprendre ce récit.
Vous me direz : « Oui mais ce n’est pas tentant car la mythologie nordique c’est pas notre culture, on y connait rien ! On a des bases celtes et Judéo-Chrétienne. » Certes oui, à première vu. Mais en lisant et en y réfléchissant, on se rend compte que malgré notre non appartenance à cette culture (à moins d’être d’origine scandinave ou des pays de l’est), il y a certains éléments fantastiques ou réels que l’on peut connaître. Qui ne connait pas ou a déjà entendu de loin ou de prés de « la chevauché des walkyries » de Richard Wagner (célèbre opéra) ? Pour ma part quand j’ai lu dans les résumés le mot « Asgards », je me suis dit : « Tiens c’est pas la race d’Aliens supérieurs qui sont les alliés des terriens dans la série « Stargate SG1 » ? ». Autant vous dires que j’étais comme vous, je n’y connaissait strictement rien. Ainsi on se rend compte que mine de rien on connait le mot Asgard. Mais vous connaissez aussi le Dieu Odin, Thor, ou la petite Sirène, ou encore les walkyries, et la crème du meilleur (j’était tout excité en le lisant) la terre du milieu. Oui oui ! vous avez bien lu !
Edouard Brasey et J. R. R. Tolkien se sont tout les deux inspirés de la culture nordique. L’un pour créer son propre monde, l’autre pour raconter et rendre accessible l’histoire des dieux d’Asgard dont il est question dans ce roman. Non je vous arrêtes tout de suite il n’est pas question de Gollum (mon préciiiiieeeeuuuuxx), même si il est question d’anneau maudit ! Ainsi donc l’Asgard est la terre des Dieux, et Midgard (terre du milieu) la terre des hommes. Car elle se trouve au milieu du monde créé par la conséquence des actes des jeunes dieux et autres créatures mythologiques qui peuplent le monde, tel que les géants, les Alfes (elfes), les êtres de feu, et les Nibelungen. Et étrangement Midgard ressemble beaucoup à l’actuelle Europe et Asie réunit. Je sent qu’à ce stade vous vous posez encore des questions sur les races de ce monde. Le pourquoi du comment etc… Malheureusement je ne peux pas répondre à toute ces questions sinon ma critique serait une nouvelle littéraire. Pour cela vous devrez lire le livre. Mais je m’évade et je m’éloigne un peu trop peut-être ! ? C’est dire que ce premier roman est tellement riche en enseignements qu’il est difficile de condenser tout ça en quelques lignes.
Si vous n’ètes pas encore alléché par ce livre, j’ajouterai que hormis une histoire attrayante, l’auteur insuffle une dimension, un souffle épique dans son histoire. J’ai ressentit ça comme quand j’était groupie des films du Seigneurs des anneaux (je n’ai pas encore lu les livres), ou comme dans Eragon le premier tome. Et pour ma part je trouve que cela est indispensable à ce genre de récit.
Un petit point noir cependant, mais pas trop désagréable : sur certains points l’auteur insiste un peu trop à nous répéter certains noms, ou certaines descriptions ou certaines petites actions du passé des personnages. Mais passé ce stade cela ne fait pas trop de tache au récit au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire.
Bref je terminerai en vous disant que vous pouvez aller les yeux fermés (enfin pas trop sinon vous ne pourrez pas lire lol) commencer à comprendre ce monde et apprécier cette histoire regroupant, comme dit auparavant des géants, des alfes de lumières et des alfes noirs, les mystérieux Nibelungen, les êtres du feu, mais aussi les semi dieux, les walkyries, les ondines, ou encore les Burgondes et le royaume du Frankenland, et le Walhala. Vous ne vous ferez pas prier pour vous évader au milieu des descendants des dieux sur terres, des machinations de Odin, de Loki et de Freya ou encore les trois Nornes tisseuses du destin, ou au milieu des loups et des corbeaux d’Odin.
La première image que j’avais d’Edouard Brasey était une sorte de Conteur, de Barde gaulois, d’après les photos ou les quelques vidéos glanées sur la toile. Et je confirme en effet cette impression, qui n’est pas un reproche dans ma pensée, au contraire. Les conteurs ont une place à part dans l’Histoire et surtout le moyen-âge. Personnes vagabondes mais estimées de tous, colportant la parole du monde et des nouvelles pays voisins. Dans nos temps plus que modernes, régie sous l’emprise de l’information à tout prix, les conteurs pourraient paraître désuets et inutile. Tout au contraire ! De nos jours ils sont encore porteur d’une flamme mystique d’une vision du monde, nous distrayant de leur histoire venu des temps anciens, nous emportant dans des mondes aventuriers et fantastiques tous plus authentiques les uns que les autres, et cela malgré si on connait déjà l’histoire. Pour ma part j’adore toujours entendre raconter une histoire déjà entendu.
Edouard Brasey est précisément cela : un conteur des temps modernes. Il a le Don et la Voix. On pourrait presque croire qu’il nous raconte son histoire assis en face de nous au coin d’un feu de cheminé ou dans un campement dans les bois pour un long voyage vers un royaume, et les intonations et tout et tout….
J’avais quelques appréhensions quand à l’orthographe et la prononciation du vocabulaire de ce livre à forte tendance nordique et germanophone. Mais cela n’a pas été un gros handicap et même plutôt un plaisir passé quelques pages du livre.
L’auteur nous raconte des histoires dans l’Histoire de la mythologie nordique. Il s’attarde et cadre son récit sur un long passage, à savoir le Ragnarök : la chute des Dieux. Comment cela a-t-il commencé ? Par quel moyen ? Quel sont les rôles des forces destructrices ? Quel est le rôle du Destin ? Peut-on y échapper ? Voilà un exemple de question que l’auteur nous pose et nous impose pour comprendre ce récit.
Vous me direz : « Oui mais ce n’est pas tentant car la mythologie nordique c’est pas notre culture, on y connait rien ! On a des bases celtes et Judéo-Chrétienne. » Certes oui, à première vu. Mais en lisant et en y réfléchissant, on se rend compte que malgré notre non appartenance à cette culture (à moins d’être d’origine scandinave ou des pays de l’est), il y a certains éléments fantastiques ou réels que l’on peut connaître. Qui ne connait pas ou a déjà entendu de loin ou de prés de « la chevauché des walkyries » de Richard Wagner (célèbre opéra) ? Pour ma part quand j’ai lu dans les résumés le mot « Asgards », je me suis dit : « Tiens c’est pas la race d’Aliens supérieurs qui sont les alliés des terriens dans la série « Stargate SG1 » ? ». Autant vous dires que j’étais comme vous, je n’y connaissait strictement rien. Ainsi on se rend compte que mine de rien on connait le mot Asgard. Mais vous connaissez aussi le Dieu Odin, Thor, ou la petite Sirène, ou encore les walkyries, et la crème du meilleur (j’était tout excité en le lisant) la terre du milieu. Oui oui ! vous avez bien lu !
Edouard Brasey et J. R. R. Tolkien se sont tout les deux inspirés de la culture nordique. L’un pour créer son propre monde, l’autre pour raconter et rendre accessible l’histoire des dieux d’Asgard dont il est question dans ce roman. Non je vous arrêtes tout de suite il n’est pas question de Gollum (mon préciiiiieeeeuuuuxx), même si il est question d’anneau maudit ! Ainsi donc l’Asgard est la terre des Dieux, et Midgard (terre du milieu) la terre des hommes. Car elle se trouve au milieu du monde créé par la conséquence des actes des jeunes dieux et autres créatures mythologiques qui peuplent le monde, tel que les géants, les Alfes (elfes), les êtres de feu, et les Nibelungen. Et étrangement Midgard ressemble beaucoup à l’actuelle Europe et Asie réunit. Je sent qu’à ce stade vous vous posez encore des questions sur les races de ce monde. Le pourquoi du comment etc… Malheureusement je ne peux pas répondre à toute ces questions sinon ma critique serait une nouvelle littéraire. Pour cela vous devrez lire le livre. Mais je m’évade et je m’éloigne un peu trop peut-être ! ? C’est dire que ce premier roman est tellement riche en enseignements qu’il est difficile de condenser tout ça en quelques lignes.
Si vous n’ètes pas encore alléché par ce livre, j’ajouterai que hormis une histoire attrayante, l’auteur insuffle une dimension, un souffle épique dans son histoire. J’ai ressentit ça comme quand j’était groupie des films du Seigneurs des anneaux (je n’ai pas encore lu les livres), ou comme dans Eragon le premier tome. Et pour ma part je trouve que cela est indispensable à ce genre de récit.
Un petit point noir cependant, mais pas trop désagréable : sur certains points l’auteur insiste un peu trop à nous répéter certains noms, ou certaines descriptions ou certaines petites actions du passé des personnages. Mais passé ce stade cela ne fait pas trop de tache au récit au fur et à mesure que l’on avance dans l’histoire.
Bref je terminerai en vous disant que vous pouvez aller les yeux fermés (enfin pas trop sinon vous ne pourrez pas lire lol) commencer à comprendre ce monde et apprécier cette histoire regroupant, comme dit auparavant des géants, des alfes de lumières et des alfes noirs, les mystérieux Nibelungen, les êtres du feu, mais aussi les semi dieux, les walkyries, les ondines, ou encore les Burgondes et le royaume du Frankenland, et le Walhala. Vous ne vous ferez pas prier pour vous évader au milieu des descendants des dieux sur terres, des machinations de Odin, de Loki et de Freya ou encore les trois Nornes tisseuses du destin, ou au milieu des loups et des corbeaux d’Odin.
bon il n'y a pas a tortiller faut que je me le procure celui ci aussi, comme tu le sais j'adore Édouard Brassey il écrit réellement très bien
RépondreSupprimerMartine
J'en était sur !
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