Imaginez ! Vous vous retrouvez au temps de la féodalité et du moyen âge. Imaginez vivre la vie d’un servant à la cour d’un noble et d’être comme tout le monde de cet époque croire aux légendes, aux histoires de bonne femmes, ou avoir peur des gens qui pratiquent la magie. Maintenant imaginez-vous être sauvé de la noyade par une fée. Vous vous rendez compte tout à coup que toute les histoires que l’on vous a raconté peuvent en partie être vrai. Du moins les histoires sur la fée Mélusine. La célèbre fée femme serpent ! Car c’est d’elle qu’il s’agit dans ce roman.
L’auteur nous entraine et nous emporte dans le Vercors féodal du moyen âge à la cour des Sassenages, célèbre famille régnante sur la région sur une longue époque. Elle donne vie à cette célèbre fée en lui faisant prendre part à l’histoire qu’elle a inventé. Et je peux vous dire que dés le début on est littéralement plongé dans l’histoire avec l’héroïne. Pour moi en tout cas ! Ayant un terrain propice aux histoires féeriques et moyenâgeuses. Le mélange ne pouvait être que détonnant.
Parallèlement à cela l’auteur a une écriture riche et sait créer des rebondissements entre révélations et actions. Après tant de secrets distillé au fil des pages, l’histoire prend une nouvelle ampleur et un nouveau virage pour nous laisser un peu sonné.
L’écriture de l’auteur justement ; grâce à ces mots elle fait revivre les personnages ayant existé ou invente une vie à d’autres, sortit de son imagination. Je ne sais pas si c’est un aspect de l’écriture de l’auteur ou le fait que l’époque était moins pudique, mais il est clair que certaines scènes sont portées sur la chose. Discussion, réflexions, actes, fantasmes ! Comme disent les expressions de maintenant : « avant il n’y avait pas la télé » ou « les soirées d’hivers sont longues sans occupations ». Rassurez-vous, les femmes autant que les hommes ne cueillent pas des pâquerettes. Ils étaient quand même assez lubriques et sans gène. Le côté amusant est que certaines scènes sont humoristiques et ne tombe pas non plus dans le mauvais genre.
Néanmoins j’ai trouvé une partie un peu ennuyeuse concernant l’histoire qui se focalise, un moment donné, sur un personnage étranger à la France. Même sachant que cela fait partie de l’intrigue et de la prophétie de Mélusine, j’ai quand même eu du mal à comprendre le but de tout les détails de l’histoire de ce personnage. Cela reste du moins intéressant en s’accrochant un peu.
J’ai trouvé la légende de mélusine, mêlé avec d’autres croyances et folklores, bien ancré dans l’histoire quotidienne des héros. Comment tout va se mettre en place ? Comment Mélusine et Algonde vont arriver ou non à leurs fins ? Comment vont se comporter leurs ennemis ?
Mais aussi pourquoi appelé ce livre « le chant des sorcières » ? Très peu de fois on en rencontre dans l’histoire ou du moins juste des sorcières guérisseuses classiques. Mais au fil de la lecture on se rend compte comme Algonde, l’héroïne principale, que quelque chose ne tourne pas rond.
Alors pourquoi des sorcières ? des fées ? des femmes aux caractères trempés ? des harpies malsaines ? et quel est le vrai sens de tout cela pour Algonde ?
Bref si comme moi vous ne tenez plus pour pouvoir le lire, vous serez encore plus accro pendant et à la fin du premier tome. Et vous ne tarderez pas à vous procurer la suite.
L’auteur nous entraine et nous emporte dans le Vercors féodal du moyen âge à la cour des Sassenages, célèbre famille régnante sur la région sur une longue époque. Elle donne vie à cette célèbre fée en lui faisant prendre part à l’histoire qu’elle a inventé. Et je peux vous dire que dés le début on est littéralement plongé dans l’histoire avec l’héroïne. Pour moi en tout cas ! Ayant un terrain propice aux histoires féeriques et moyenâgeuses. Le mélange ne pouvait être que détonnant.
Parallèlement à cela l’auteur a une écriture riche et sait créer des rebondissements entre révélations et actions. Après tant de secrets distillé au fil des pages, l’histoire prend une nouvelle ampleur et un nouveau virage pour nous laisser un peu sonné.
L’écriture de l’auteur justement ; grâce à ces mots elle fait revivre les personnages ayant existé ou invente une vie à d’autres, sortit de son imagination. Je ne sais pas si c’est un aspect de l’écriture de l’auteur ou le fait que l’époque était moins pudique, mais il est clair que certaines scènes sont portées sur la chose. Discussion, réflexions, actes, fantasmes ! Comme disent les expressions de maintenant : « avant il n’y avait pas la télé » ou « les soirées d’hivers sont longues sans occupations ». Rassurez-vous, les femmes autant que les hommes ne cueillent pas des pâquerettes. Ils étaient quand même assez lubriques et sans gène. Le côté amusant est que certaines scènes sont humoristiques et ne tombe pas non plus dans le mauvais genre.
Néanmoins j’ai trouvé une partie un peu ennuyeuse concernant l’histoire qui se focalise, un moment donné, sur un personnage étranger à la France. Même sachant que cela fait partie de l’intrigue et de la prophétie de Mélusine, j’ai quand même eu du mal à comprendre le but de tout les détails de l’histoire de ce personnage. Cela reste du moins intéressant en s’accrochant un peu.
J’ai trouvé la légende de mélusine, mêlé avec d’autres croyances et folklores, bien ancré dans l’histoire quotidienne des héros. Comment tout va se mettre en place ? Comment Mélusine et Algonde vont arriver ou non à leurs fins ? Comment vont se comporter leurs ennemis ?
Mais aussi pourquoi appelé ce livre « le chant des sorcières » ? Très peu de fois on en rencontre dans l’histoire ou du moins juste des sorcières guérisseuses classiques. Mais au fil de la lecture on se rend compte comme Algonde, l’héroïne principale, que quelque chose ne tourne pas rond.
Alors pourquoi des sorcières ? des fées ? des femmes aux caractères trempés ? des harpies malsaines ? et quel est le vrai sens de tout cela pour Algonde ?
Bref si comme moi vous ne tenez plus pour pouvoir le lire, vous serez encore plus accro pendant et à la fin du premier tome. Et vous ne tarderez pas à vous procurer la suite.
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