Une lecture courte mais qui nous dévore.
L'illustre Victor Hugo, homme de convictions, nous démontre par ce livre l'un des plus absurdes état de fait de son temps : la peine de mort. Il nous décrit les derniers moments d'un condamné quelqu'onque presque sans trace de son histoire passé, pour nous éviter ainsi de juger, car ce n'est pas cela qui est important. L'auteur était avant-gardiste, car de son temps je suis sur que personne, ou très peu, ne voyait l'utilité de remettre en cause cet acte qui était dans l'ordre des choses et indiscutable. Personne ne se souciait de savoir si l'homme avait le droit de tuer ses pairs. Personne ne se souciait de savoir ce que ressentait une personne au pied du mur (de la corde ou de la guillotine o du bourreau) dans ses derniers moments.
L'homme en général se force et se borne à enfouir, dans ses moments comme celui-là, sa culpabilité et sa honte. Il rejette sur le condamné toute la haine qu'il a enfoui et se dit : "il l'a bien cherché". Seulement on oublie que l'inconscient collectif et le refus d'agir nous force à devenir des meurtriers, ce que précisément les lois de la nature nous interdisent et qui est forcément évident. V. Hugo nous montre aussi les abus et les déboires de cet acte. Comment ne pas penser aux innocents tués pour rien et aux coupables libres à cause d'un jugement mal apprécié ou une mascarade de jugement ou au manque de recul d'une situation face aux évènements de l'histoire dans lesquels les gens ont vécu sans trop de discernement. Comment ne pas penser non plus au présent ; à certains états des USA, à certains pays avec un gros passé de dictateur ou encore sous le joug du communisme, qui légalisent encore haut et fort l'utilité de la peine de mort. Comment ne pas penser non plus qu'il y a encore une vingtaine années cet acte était toujours légal en France. Et comment ne pas penser à ce stéréotype des films américains qui montrent des personnes hauts placés qui assistent à cet acte sans l'ombre d'un sentiment, d'un remord, d'un doute ou d'une indignation même si le condamné est véritablement coupable.
C'est de tout cela que l'auteur à voulut nous faire prendre conscience. Il a voulu nous relater l'une des nombreuses bassesses humaines qui ont survécu jusqu'à son époque, et espéré que l'homme évolue socialement.
L'illustre Victor Hugo, homme de convictions, nous démontre par ce livre l'un des plus absurdes état de fait de son temps : la peine de mort. Il nous décrit les derniers moments d'un condamné quelqu'onque presque sans trace de son histoire passé, pour nous éviter ainsi de juger, car ce n'est pas cela qui est important. L'auteur était avant-gardiste, car de son temps je suis sur que personne, ou très peu, ne voyait l'utilité de remettre en cause cet acte qui était dans l'ordre des choses et indiscutable. Personne ne se souciait de savoir si l'homme avait le droit de tuer ses pairs. Personne ne se souciait de savoir ce que ressentait une personne au pied du mur (de la corde ou de la guillotine o du bourreau) dans ses derniers moments.
L'homme en général se force et se borne à enfouir, dans ses moments comme celui-là, sa culpabilité et sa honte. Il rejette sur le condamné toute la haine qu'il a enfoui et se dit : "il l'a bien cherché". Seulement on oublie que l'inconscient collectif et le refus d'agir nous force à devenir des meurtriers, ce que précisément les lois de la nature nous interdisent et qui est forcément évident. V. Hugo nous montre aussi les abus et les déboires de cet acte. Comment ne pas penser aux innocents tués pour rien et aux coupables libres à cause d'un jugement mal apprécié ou une mascarade de jugement ou au manque de recul d'une situation face aux évènements de l'histoire dans lesquels les gens ont vécu sans trop de discernement. Comment ne pas penser non plus au présent ; à certains états des USA, à certains pays avec un gros passé de dictateur ou encore sous le joug du communisme, qui légalisent encore haut et fort l'utilité de la peine de mort. Comment ne pas penser non plus qu'il y a encore une vingtaine années cet acte était toujours légal en France. Et comment ne pas penser à ce stéréotype des films américains qui montrent des personnes hauts placés qui assistent à cet acte sans l'ombre d'un sentiment, d'un remord, d'un doute ou d'une indignation même si le condamné est véritablement coupable.
C'est de tout cela que l'auteur à voulut nous faire prendre conscience. Il a voulu nous relater l'une des nombreuses bassesses humaines qui ont survécu jusqu'à son époque, et espéré que l'homme évolue socialement.
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